La Ferme du Vieux Bourg

L’esprit de la Ferme

Depuis le milieu des années 1980, la Ferme du Vieux Bourg est une affaire familiale, bien implantée au coeur de la Chalosse et en perpétuelle amélioration.
La Ferme du Vieux Bourg : canard

Le canard : une affaire familiale

En 1985, Caroline et Guy Laborde démarrent une exploitation de canards pour une coopérative locale. 6 ans plus tard, au moment où la coopérative dépose le bilan, le couple commence à transformer les canards en confit, foie gras et rillettes, qu’ils distribuent entre autres via des CE.

En 2001, leur fille Mélanie vient les épauler, suivie peu de temps après par son frère Mathieu. Progressivement, la gamme s’étoffe, et le mode de vente devient plus local et plus direct.

Un incendie à la conserverie et la grippe aviaire de 2006 conduisent encore la famille à s’adapter : la production est désormais intégralement vendue en direct, sur les marchés ou à la ferme.

2014

la diversification
avec le porc

En 2014, Matthieu a l’idée de commencer à travailler le cochon rose, avec la volonté de diversifier l’activité et de proposer des produits de qualité à des prix raisonnables. La Ferme du Vieux Bourg a ainsi commencé à proposer du porc frais en caissettes. Petit à petit, la gamme s’élargit avec un choix plus large pour la vente au détail, ainsi que des conserves, de la charcuterie et des salaisons. La confection de ces dernières est confiée à la Maison du Jambon de Bayonne à Arzacq (64).

Mélanie et Matthieu reprennent la gérance de l’entreprise familiale en janvier 2018. Comme leurs parents, ils ont à affronter la crise aviaire, cette fois en 2021. Ils font alors le choix de ne plus produire de canard, et le porc deviendra leur unique production. Aujourd’hui, la totalité des animaux élevés sur l’exploitation est vendue en circuit court auprès de clients fidèles à la ferme et sur les marchés, de restaurateurs, rôtisseurs, épiceries fines, petites et moyennes surfaces locales.

la ferme

Qualité &
auto-suffisance

Depuis toujours, des céréales ont été produites sur la Ferme. Pour pouvoir nourrir les porcs en autonomie, Mathieu a cherché à améliorer la structure des sols tout en réduisant l’utilisation de produits phytosanitaires.

À ce jour, la Ferme du Vieux Bourg cultive ainsi :

  • 20 hectares de soja ;

  • 50 hectares de maïs ;
  • 10 hectares de tournesol ;

  • 10 hectares de céréales à paille.

Les cochons élevés consomment ainsi à 90% des céréales produites sur les terres de la Ferme, leur ration étant complétée par du tourteau de tournesol. Ils vivent – au choix de l’animal ! – en plein air ou dans un bâtiment sur paille, et ne reçoivent aucun traitement antibiotique.

La Ferme du Vieux Bourg : Famille Laborde

la ferme

du Vieux Bourg
aujourd’hui

En moyenne, 6 personnes travaillent sur l’exploitation :

Mélanie et Matthieu, les enfants et gérants ;
Caroline et Guy, les parents ;
un boucher ;
une ouvrière polyvalente

Passionnés par le métier (et gourmands !), Mélanie et Matthieu cherchent sans cesse à innover pour améliorer leurs produits et en créer de nouveaux. Au quotidien, ils apprécient toujours autant la diversité des tâches, la transformation de produits de qualité, ainsi que le contact avec les clients.

C’est cette proximité et cette constante remise en question qui font le succès de la Ferme du Vieux Bourg !